Intelligence artificielle

Les membres de notre équipe accompagnent les acteurs de l’intelligence artificielle (directions de l’IA, sociétés technologiques, fournisseurs et éditeurs de solutions d’IA, acteurs de la data, établissements d’enseignement, laboratoires de recherche, créateurs…) ainsi que l’ensemble des entités publiques et privées, tous secteurs confondus, dans la mise en œuvre de leurs projets d’intégration de l’IA dans leur stratégie d’entreprise. 

L’IA est aujourd’hui partout et ses bénéfices au quotidien ne sont plus à démontrer : prédiction, orientation, recommandation, diagnostics, sécurité, accès à l’éducation et à la formation, progrès dans le domaine de la santé et de la médecine, automatisation des tâches, gains de productivité…

En revanche, l’émergence des technologies algorithmiques s’accompagne d’une montée des inquiétudes quant à leurs éventuels effets indésirables pour les individus : transparence, traçabilité, contrôle des apprentissages et des évolutions par les données, fiabilité, biais, sécurité et confidentialité.

De ce point de vue, avec l’apparition des IA génératives les plus puissantes et le succès fulgurant de ChatGPT, une nouvelle étape a incontestablement été franchie.

D’où l’importance de concevoir une stratégie de régulation de l’IA par l’éthique, mais aussi par le droit. Et de mettre en place un véritable écosystème juridique propre aux algorithmes.

Au plan mondial, un mouvement se dessine, visant à créer une intelligence artificielle digne de confiance. L’Europe lance un « paquet » législatif sans précédent : Digital Service Act en tête, plusieurs directives et règlements sont sur le métier à Bruxelles. Pour la première fois, l’UE s’apprête à tracer les limites de ce qui est acceptable pour nos sociétés démocratiques.

Précurseur dans le secteur des technologies avancées, le réseau a fait œuvre de pionnier en lançant il y a dix ans un département dédié au droit des activités robotiques et d’intelligence artificielle, anticipant la reconnaissance par le droit d’une nouvelle révolution technologique au moins aussi importante que l’ont été l’informatique et internet au 20e siècle.

Dix ans plus tard, le développement de la robotique a conduit à la mise en place d’un encadrement juridique dédié, fruit de normes, législatives & réglementaires mais également issues du « droit souple » (soft law), tantôt éparses, souvent sectorielle, qui ont le mérite de « montrer le chemin » à une industrie dans l’attente de solutions juridiques et éthiques, et à des utilisateurs d’objets connectés qui souhaitent être principalement rassurés sur l’utilisation qui est faite de leurs données personnelles.

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